Érick Lucas V.Zandt

I. BIENVENUE EN CALiFORNiE ...

• Nom : Van Zandt
• Prénom(s) : Érick Lucas
• Surnom(s)* : Érick. Bah quoi,c'est moins long que " Érick-Lucas". Tu parle d'un prénom, d'ailleurs, il est très rare que Érick prenne la peine de le dire au complet. Et avec raison! Vous l'imaginez, arriver en se présentant : " Hey, j'mappelle Érick Lucas Van Zandt! " Totalement gonflant, ouais...
• Âge : 25 ans
• Date et lieu de naissance : Paris, 11 juin 1983
• Groupe (California, New York, London..) : Paris

• Avatar (vérifiez la liste !) : Milo Vengtimila

II. MA PERSONNALITÉ PLUS EN DETAILS ...

• Caractère (8 lignes) : Caractère hein? À quoi bon, ce n'est jamais intéressant de parler des autres...Vous insistez vraiment? Très bien alors...Disons qu'Érick est LE gars par excellence. Oh, il n'a jamais été populaire et ne le sera probablement jamais, nah, faut pas méprendre. Mais vous savez, ces mecs qui savent se faire accepter facilement et s'intègrent partout, selon leurs désirs? Disons que notre Van Zandt fait partie de cette catégorie. Seulement, voilà, il n'a jamais eu la chance de mettre cette qualité en pratique puisqu'il prend soin de se mettre lui-même à l'écard. Timide, me direz-vous ? Tout dépend de votre conception de la gêne...Une personne n'aimant pas être entouré d'hypocrites doit-elle être considérée comme étant chétive? Aimable et compréhensif, il sait se faire aimer rapidement par ceux qui osent percer cette bulle de méfiance l'entourant. Néanmoins, Érick est une personne fidèle et sa loyauté est assurée lorsqu'on rentre dans son cercle d'amis. Franc et direct, il a néanmoins tendance à ne pas contrôler sa langue, agissant avec honnêteté mais avec un manque évident de tact.
Possessif? Étrangement, ce mot revient souvent dans ses caractéristiques...J'vous explique : l'adulte, étant assez solitaire de nature, protége davantage que nécessaire ceux qui lui tiennent à coeur. Oh, il n'ira jamais jusqu'à la violence, c'est une personne tout de même assez pacifique, mais il aura tendance à rejeter la faute sur certaines personnes ayant tenter de briser son cercle de copains. Particulièrement développé au lycée, ce défaut c'est néanmoins consumé avec l'âge, laissant seulement un attachement profond pour ceux qui lui sont restés fidèle et une certaine jalousie lorsque sa copine parle à un autre garçon...Bref, rien de très dangereux, mais disons qu'à long terme, notre cher Van Zandt peut devenir agaçant.
Ironique, il ne manque pas de répliques et même si sa force physique laisse à désirer - bref, ce n'est pas un mec de bagarre - la puissance de ses phrases peuvent vous laisser ébahis, l'espace de quelques secondes. Vif et faisant preuve d'un humour un peu particulier, notre jeune homme ne manque pas de ressources et ses compatriotes, autrefois, avaient vite fait de s'adapter à ce sens des sarcasmes.
• Plus grande qualité : Loyal
• Plus grand défaut : Sarcastique
• Manie / TOC : Il a tendance, lorsqu'il est nerveux, à mordiller l'ongle de son index. De plus, il passe souvent sa langue sur ses lèvres, ancien tic de sa jeunesse lui étant resté.

III. MES PRÉFÉRENCES ...

• Style d'homme/de femme : Pardon? Pourquoi, il doit passer une annonce dans les journaux? Nah, Érick a déjà trouvé la femme qu'il aime. Si une demoiselle doit lui plaire, elle doit porter son prénom, son nom , avoir son caractère et son physique, point final!
• Plat préféré : Le homard aux épinards - eh oui, il a des goûts de luxe, notre E-L.
• Couleur préférée : Le bleu marine...
• Film/Série préféré(e) : Aucun. Érick n'aime pas la télévision car il est toujours déçu par les adaptatations cinématographiques des bouquins qu'il a lu...

IV. MA BIOGRAPHIE ...

• Présent & Passé (20 lignes) :

17 novembre. La lune brillait avec insolence, éclairant de ses rayons lumineux la surface claire d’un des nombreux lacs de Paris. Le marigot étincelait tel un miroir, faisant refléter la silhouette d’une jeune fille aux cheveux brunâtre. Sur ses joues rosés par le froid, un cristal pur coulait, synonyme de rage et de colère . À ses côtés, un adolescent au regard fuyant tentait de rassurer sa compagne. Mais la barre était haute, car lui-même nageait en pleine indécision. Il tendit à l’éphèbe un mouchoir de dentelle et fixa ses yeux au loin, dans l’espoir dérisoire d’oublier cette histoire et de recommencer à zéro. À quoi bon? La réalité lui avait joué un bien vilain tour et il était dans l’obligation d’assumer ses actes. Agir à l’inverse de cette réflexion serait un manque de respect total aux valeurs qu’on lui avait enseigné. Il détourna finalement son regard pour le plonger dans celui de sa copine. Les larmes éclairaient ses pupilles et le garçon se retrouva de nouveau piéger dans cette couleur argentée qui l’avait passionné dès la première rencontre. Prisonnier d’un amour qui n’aurait jamais dût être. Cliché, me direz-vous? J’men fous…la réalité peut parfois ressembler à un roman, non? De toute façon, la suite ressemblait plutôt à une histoire écrit par un mauvais écrivain de nouvelle dramatique…

Jason. C’était le nom de ce mec de 17 ans. Il était beau, voir canon. Ses traits étaient si finement dessinés que seul son visage était suffisant pour faire fondre les adolescentes. Autant dire qu’il avait le corps qui allait avec…La nana? Emy, jeune fille de 16 ans, gracieuse et douce comme le satin de sa peau et la rosée du matin. Un peu trop poétique, non? On recommence alors : c’était un ange. Le bonheur, la grâce et la charité incarnée. Son cœur était difficile à voler mais si aisé à briser. Vous me voyez venir, pas vrai? Nah? Pauvre idiot, même pas fichu de réfléchir deux secondes... C’étaient les futurs parents de Érick. Et sa mère venait justement d’apprendre qu’elle était enceinte.


Avril, 3 ans plus tard. Ils avaient gardé l’enfant, malgré leurs âgés peu avancés. Des deux bords de la famille, on vînt en aide aux parents. Jouets, couvertures, argent, vêtements, jouets…Les cadeaux croulaient sur le table, vestige d’un anniversaire passé. Le poupon avait été nommé Érick Lucas . Il avait hérité du premier nom de sa mère et du second de son père. Il était choyé, aimé, protégé. C’était un gamin ordinaire, avec cette joie de vivre qui réside chez les enfants en bas âge. Ce jour-là, il s’amusait tranquillement dans le salon, sous l’œil avisé de Emy. Son ventre était gonflé car elle attendait un autre enfant. Quant à lui, il aimait toucher ce qu’il voyait, contempler ses formes qui s’étalaient devant ses yeux. Et parler! Que de plaisir, d’entendre enfin le son qu’il pouvait produire avec sa petite bouche!

« Mama… »

Ça y est, il avait formé un mot, il en était certain! Ce bruit sonnait bien, comme une résonance à ses propres pensées. Il le répéta avec enthousiasme, agitant ses petites mains dans tous les sens. Sa mère vint à lui avec un sourire et saisi ses menottes, pour ensuite déposer un baiser sur son front. Elle avait changé, sa maman. Son charme naturel avait cédé la place à une vieille prématurée. Oh, elle était belle. Mais que signifie réellement la beauté dans un monde où ce terme est attribué à tord et à travers?
Une porte claqua et son père rentra précipitamment dans la pièce, jetant un regard circulaire dans la pièce pour arrêter ses yeux sur l’enfant. Il eut un sourire chaleureux, puis reprit bien vite son air troublé. D’un signe de la main, il invita sa campagne à une discussion, dans la chambre. Elle le suivi docilement, son visage se voilant presque immédiatement par l’inquiétude. Des cris retentirent. E-L se dressa du mieux qu’il le pouvait, et commença à hurler. Ses pleurs se reportèrent jusqu’à l’emplacement des adultes qui se regardèrent avec cet air qu’ont les vieillards quand leurs univers s’écroulent. C’était précisément le cas, en faite.
Incurable. Pauvre bougre. J’vous vois déjà aller chercher votre dictionnaire…Allez, pas la peine, je vous tire la définition : Qui ne peut être guéri. Synonyme d’inguérissable.
Les médecins laissaient à Jason un ou deux mois d’existence. Ensuite, il s’éteindrait. Les époux fondirent dans les bras l’un de l’autre . Ils allaient continués à vivre normalement jusqu’à l’échappatoire. Il n’y avait pas d’autres solutions.

*** Deuxième partie***

Bordel. On a tendance à croire que nous sommes invincibles. Vous savez, comme tous ces jeunes, on fait des conneries. C’est l’âge, nah ? On fume des joints, enchaînant les clopes avec l’alcool…On déconne, quoi.
M’fin, on s’en fout des conséquences . L’important, c’est nous. Oh, c’est égoïste comme concept mais que voulez-vous…bienvenue dans l’univers cruel des ados…Je n’ai jamais été entièrement comme les autres.Allez savoir pourquoi…Peut-être parce que j’avais rapidement apprit à mes dépends que la société n’était pas fiable et que les gens qui l’habitaient n’étaient que des c**s de première qualité. N’empêche, ça n’a rien changé cette journée-là. Que j’sois révolté comme tous les jeunes de mon âge, malgré ma différence, n’a pas empêché cet événement d’arrivé. Et merde ! J’aurais dût y être…J’aurais dût être présent, pour ne pas avoir à écrire aujourd’hui dans ce cahier en espérant oublier une situation que je n’ai jamais réussi à comprendre.

13 janvier. Érick ferma quelques secondes son calepin, reprenant avec difficulté sa respiration qui semblait avoir commencer une valse folle avec son cœur. Il avait 13 ans, des mèches frivoles retombaient déjà devant ses yeux. Si jeune, mais déjà éprouvé. Encore une histoire dramatique ? C’est fort probable…Mais que voulez-vous, certaines personnes sont vouées à une existence ponctuée par les épreuves. Dans le cas de l’adolescent, sa passion de l’écriture a débuté et a prit forme cette fameuse journée d’hiver, où, pour la première fois de l’accident, il consentait à dire ce qu’il ressentait. Nouveau soupir. Cette fois, le jeune homme mordilla légèrement l’ongle de son index, recommençant à gratter sa feuille avec la pointe de son stylo.

Vous savez, lorsqu’on est enragé ? Ce soir-là, j’avais agis sur une impulsion. Foutus hormones… Je m’étais disputé avec ma mère, au sujet du lycée que j’allais fréquenter l’année suivante. Moi, je visais haut : un bahut réputé, en Californie, que m’avais conseillé un de mes enseignants. Elle ? La petite école du coin, celle qui était à ses moyens. J’aurais dût argumenter avec calme, sans insister pendant des heures. Mais j’étais jeunes…ça explique tout, non ? M’fin, je le suis encore…Peut-on réellement vieillir en un mois ? Arf, j’ai oublié de me présenter. Quoique je ne pense pas que ce soit primordial, vu que personne ne lira ce que je suis en train d’écrire…Érick Lucas Van Zandt. Gavant, comme nom. Très difficile à mettre dans une conversation. N’empêche, j’men fiche éperdument de mon sobriquet, présentement. Nah, ce qui me dérange, c’est ÇA. L’événement…Faut que je le couche sur papier, que me dis mon phsyco. Et il en sait quoi, lui ? D’accord, il donne des conseils, c’est son boulot, mais le pauvre type va devoir comprendre un truc : Moi, j’me conforme à aucune règle précise.

Nouvel arrêt. Cette fois, le jeune homme ferma les yeux, porta ses mains à ses tempes et entreprit de les masser. Le tic-tac rassurant d’un horloge se faisait entendre, rythmant les battements de cet organes pulpeux lui permettant de vivre. Profonde respiration. Pas question de reculer à nouveau….Il devait l’écrire. Sinon, il ne s’en sortirait jamais…Hésitation. Au bout de quelques secondes, Érick se pencha à nouveau et acheva ce qu’il avait commencé.

Elle est morte. Ma mère et mon p’tit frère. C’est con, quand même. Une simple dispute, une déstabilisation morale et SBAM ! La voiture qui accélère, freine trop tard et fait plusieurs tonneaux avant d’échouer sur le bord d’un fossé. J’veux pas jouer les dramaturges. De toute façon, je n’étais pas là. Le pauvre type que je suis était occupé à déblatérer contre sa génitrice, en compagnie de ses copains. J’me dégoûte. De penser que je l’insultais, dans son dos, alors qu’elle, luttait pour survivre en attendant les secours. M’fin, c’est ce que je m’imagine. Emy ne se serait jamais laissé mourir en sachant qu’elle abandonnait son fils derrière elle. Impossible. J’la connais, ma mère. Mais voilà…elle n’est plus de ce monde. Par ma faute. Car si ce jour-là, je ne l’aurais pas provoqué et blessé, elle aurait peut-être ralentie en passant devant ce camion… De toute façon, qu’est-ce que j’en sais ? Les dés sont joués et que j’écrive dans ce cahier ne changera rien. J’resterai toujours cet idiot ayant provoqué le décès de tous ce qui lui restait comme famille.

Les lumières se fermèrent. Érick ferma son cahier, posa sa tête contre la photo d’une jeune fille en robe de marié. Emy. Jason. Ils se retrouvaient enfin, laissant en bas une personne déboussolée… Au loin, le soleil commençait à se lever. À côté de lui, ses compatriotes de l’orphelinat, dans lequel il allait resté jusqu’à son entré en Californie, se retournaient sans cesse.

( Dernière partie ici, ça ne voulais pas rentrer, et j'ai finis = ) )

Troisième partie
« Elle ferma les yeux, posant sa main de velours sur la peau mal rasé de cet homme qu’elle avait jadis aimé.
Les mots ne suffisaient plus. Les phrases étaient devenues vides. Cette fois, il fallait en finir. Sans s’occuper des anémones, des coquelicots et des jacinthes qui ornaient son costume d’un blanc immaculé, la jeune fille ôta un de ses gants. Néanmoins, plutôt que de le frapper avec le vêtement, comme il était coutume de le faire, elle se contenta de se pencher vers ce type, posant un dernier baiser sur ses lèvres malfamées, sentant aussitôt l’ardente brûlure de l’amour qui se consume se répandre dans son cœur »

Soupir. Érick sauvegarda ce qu’il avait écrit, éteignant aussitôt son ordinateur. Vingt-heures. Il avait encore le temps d’aller rejoindre sa petite-copine aux arcades, avant de rentrer à cette fameuse maison où ils s’étaient tous retrouver . Depuis l’accident, les années s’étaient écoulées, lentes et insensibles au chagrin qu’il semblait endurer depuis bien longtemps. Cette souffrance, il s’en servait pour créer des textes magnifiques qui faisaient la joie de sa maison d’édition.

Le lycée. Une époque de sa vie si longue et pourtant…il n’y a pas grand chose à dire. Le reste de son adolescente, il l’avait passé dans la maison d’une jeune femme sympathique, obtenant finalement une place dans ce bahut en Californie. Réservé. C’est ainsi qu’il fût perçut durant toute sa scolarité, ce qui ne lui déplaisait pas. Ainsi, les gens évitaient de le questionner trop longtemps sur son passé. Ça, il détestait. C’était sa vie privé , nah ?
Jay Faith. Un prénom qui était resté inscrit dans sa mémoire, même avec l’âge. Un pote, un précieux confident qui ne l’avait jamais abandonné. Une personne avec qui passer des heures de délires…et de basket-ball. Oh, Érick était toujours aussi nul : mais au moins, il s’amusait. Quoi de mieux que d’être en compagnie d’une personne qu’on apprécie ?

Edward. Son meilleur copain, l’un des rares connaissant l’histoire de son enfance et ne lui ayant pas rit au nez. Il lui faisait confiance, c’était réciproque. Au lycée, il faisait souvent divers trucs, passant des weekends entiers ensemble. Mais les choses changent, non? Les relations s’effritent avec le temps et la fameuse phrase ‘’ On reste en contact ‘’ s’avère être un piège pour tous ceux qui se feront berner. Oh, il se téléphonait. Quelques coups de fil par semaine, sans plus. N’empêche, on ne perd totalement nos amis. Heureusement.

Et puis finalement, la dernière et non la moindre…Judy. Une fille extrêmement séduisante qui l’avait séduit, d’abord physiquement, dès la promière fois qu'il l’avait croisé, au lycée. Mais voilà, elle était populaire et ignorait qu'il existait. Et lui, semi-sociable, préférait se tenir éloigné de cette adolescente qui pouvait avoir tous les mecs qu’elle désirait. Deux ans plus tard. Elle et lui. Lui et elle. Une conversation dans un café. Des points en commun. Et voilà le début d’une relation. Solide. Que rien ne peut détruire. Même les secrets les plus sombres…

Et puis, la lettre était venu. Une invitation à une réunion réunissant toutes ses personnes ayant participé à son adolescence. Lui y compris, l’inconnu Érick Lucas V. N’empêche, il avait changé. Et ça, les autres seraient bien obligés de le constater.

V. TOI DERRIÈRE L'ÉCRAN...




• Prénom réel * : Alexandra
• Âge réel : 14 ans

• Comment avez-vous connu le forum ? : Patrick...
• Que pensez-vous du forum ? : Nah, le forum est bien = )
• Pourquoi ce personnage ? : Aucune idée...parce qu'il était libre xD• Évaluez votre niveau de RP : J'déteste me noter alors disons...10 sur 20?
• Évaluez votre présence : 3 jours par semaine...Vive les exams!• Code de validation :